A quinze jours du grand rendez-vous parisien de la scène internationale de l’art contemporain qu’est la Fiac, la Frieze ouvre aujourd’hui les portes de sa 14e édition à Londres. Plus de 160 galeries venues de 30 pays – avec pour la première fois des représentants originaires de Taïwan, du Guatemala et d’Egypte – sont installées au cœur de Regent’s Park, réparties en différentes sections dont une, inédite, dédiée à la création ayant marqué les années 1990. « Frieze a bâti sa réputation sur le solide commissariat assuré pour chacune de ses sections, relève la directrice de la manifestation Victoria Siddall (38 ans). Et je suis très heureuse de la participation de Nicolas Trembley qui a réuni cette année un certain nombre d’artistes – parmi eux, l’Allemand Wolfgang Tillmans, le Britannique Richard Billingham, le Français Dominique Gonzalez-Foerster et le Suisse Daniel Pflumm – ayant participé au tournant créatif et conceptuel opéré dans les années 1990. » La performance et les galeries et/ou artistes émergents bénéficient également d’un focus particulier. A l’extérieur, les œuvres souvent monumentales présentées dans le cadre du Frieze Sculpture Park resteront visibles jusqu’à début janvier. Visuel : © Frieze Art Fair.
Londres aux couleurs de la Frieze
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