Nick Walker | Unspoken Words

« En 1992, j'ai commencé à combiner les pochoirs avec mon travail à main levée, ce qui m'a permis de juxtaposer des images quasi photographique avec la crudité du graffiti conventionnel. Les pochoirs ont eu un fort impact sur mon travail. L'intérêt des pochoirs est qu'ils me permettent de prendre une image à partir de n'importe où (disséquer une partie de la vie) et de la recréer sur n'importe quelle surface. J'essaie d'ajouter un élément humoristique ou de l'ironie pour certains tableaux et d'ajouter un peu de soulagement et de lumière sur les murs. La peinture est une forme d'évasion pour moi et si mon travail permet au spectateur de faire la même chose, alors je suis satisfait. » Nick Walker. Visuel : Manhattan Bridge, Nick Walker, 2016.