Max Paskine | Langages Machines

Dans le cadre du projet Langages Machines, notamment constituée d’une vaste exposition collective présentée à la Fondation Vasarely, l’espace de Seconde Nature accueille une monographie de Max Paskine. L’artiste propose une sélection d’œuvres questionnant notre rapport au monde, à l’histoire, à la mémoire et à l’espoir. A la fois musicien et vidéaste, il travaille autant la matière sonore que visuelle, chacun de ces médiums étant liés l’un à l’autre et s’influençant mutuellement. « Essayer vainement de créer une forme à cette globalité qu’est l’humanité, chercher à atteindre l’origine du langage, les prémices de l’incompréhension et du bruit. “Tenter de sentir le grisou”. Relation de causes à effet, n’y voir en définitive qu’un cycle de brouillage et de confusion, un brouhaha constant. Composer avec ces formes d’écroulements, de déflagrations, se rapprocher au plus près de l’abstraction et parfois l’atteindre. Epurer le propos et n’y voir finalement que des formes, des couleurs et du temps. » Max Paskine. Plus d’infos sur le programme de Langages Machines d’un clic. Visuel : Try To Feel The Firedamp, Max Paskine, 2017.