Pendant plus de trois mois, quelque 60 artistes exposent des œuvres uniques, toutes liées à la catastrophe Japonaise de 2011, qui a engendré des semaines d’angoisse à chaque frontière. C’est donc là, la vision d’un monde entrelacé entre catastrophes et nucléaires, tirant peu d’enseignements de ces grands désastres humains et technologiques. L’exposition Fukushima Mon amour a choisi d’investir un lieu à sa mesure dans le nouvel espace du 18bis Boulevard Voltaire à Paris. Une salle dédiée aux disciplines du corps et sur l’ouverture d’une humanité consciente. Quinze lors de première session en 2014, ils sont 40 puis 50, et désormais 60, à avoir voulu contribuer à cette cause. Ainsi deux nouveaux venus, Seb Janiak et Jean-Luc Vilmouth rejoignent cette galerie, située à deux pas de la place de la République. Visuel : Le vague, Bernard Pras.
Fukushima Mon amour | Exposition collective
